Bonjour.
Nouvelle investigation poétique pour vous faire connaître un autre visage de la
poésie avec le recueil : « Les trois Visages de
l’amour ».
Cette semaine vous aurez droit au divorce avec « La Clé Perdue » ; une autre forme de l’amour…
Ce
texte se trouve en page 45 dans la première partie du recueil. Personnellement,
je l’aurais mise dans la dernière
partie : l’amour passionnel. Mais, je crois savoir pourquoi l’auteur, Vittorio,… a agi de la
sorte : il est un grand sentimental. C’est un poète. Il croit que tout est
possible, qu’on peut se rabibocher, se réconcilier et recommencer comme s’il ne
s’était jamais rien passé ! Foutaises. Et je vois déjà un avocat qui se
frotte les mains ; le seul à y gagner quelque chose, d’ailleurs !
Bref,
laissons tomber mes pensées personnelles et voici le poème :
Nous subissons en ce moment
Une relation bien tendue
Où notre amour nous joue l’absent
Et la tendresse n’est pas venueRien
que dans ce quatrain, on peut s’imaginer le poète qu’il est. On comprend qu’il
a un certain âge, aussi ; il nous parle de tendresse. C’est pour les vieux !
Je continue :
Bien souvent, pendant les repas
Seul un silence est partagé
Et nous posons, ici ou là
Nos yeux mais sans nous regarderDe
nos jours, rares sont ceux qui en arrivent là. Habituellement, dès que ça ne va
pas : on arrête ! Ailleurs l’herbe est plus verte. Et, même sans
aller ailleurs, il y a toujours de quoi faire : les amis, les boîtes de
nuit, les associations de rencontre, la salle de sport ; il y a tout pour
s’amuser de nos jours, alors, pourquoi devrais-je continuer de voir une tête
qui boude, qui s’ennuie, qui m’ennuie ! Ce n’est pas ça que j’ai
épousé !
Bon,
je vous fais grâce des autres quatrains, refrains et couplets ; vous les
lirez dans le recueil. Mais je vous mets quand même le final que vous trouverez
en page 46. Il vaut la peine, je crois :
Ce n’est plus un secret mais tant
Une évidence
Tant de gens sont au courant
Nous avons manqué de chance
Tout semble s’écrouler. Le temps
De nos souffrances
A fini par arriver… le temps
C’était joué d’avance
C’était joué d’avanceEt
c’est vrai ; on s’engage souvent à la légère, sur quelques points communs,
des points superficiels. Et, avec le temps, le superficiel devient banal,
ordinaire, répétitif et ennuyeux et nous nous retrouvons seuls !
Pas
de doute, l’auteur, Vittorio,… est un grand
poète ; il a cerné le problème. On s’embarque sur un bateau qui, de nos
jours, est fait en papier mâché et on s’étonne, quelques temps après, de se
retrouver à carnaval ! Quelle tristesse ! Encore plus quand on a des
enfants.
Bref,
« Les trois Visages de
l’amour »
à se procurer de toute urgence ! Vous pouvez lire quelques poèmes en
cliquant sur le lien.
Et
la poésie continue. Heureusement ! Bonne semaine.
Comme convenu avec mes amis blogueurs,
voici ce qu’ils font : Atelier
d’écritures ; cap.
Margenspat ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric
Valloni ; avidoxe et VittorioDenim